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Qui suis je?

Se mettre en avant ce n’est franchement pas son truc.
Photographe autodidacte, Cyril Vivier s’intéresse surtout à La Rochelle et aux Rochelais.


Il n’y a qu’à jeter un coup d’oeil à ses clichés pour y découvrir la passion qu’il porte à ses sujets.
Après de nombreux voyages en Afrique et en Europe, il revient en terre rochelaise, il y a un peu plus de 10 ans.
« C’est la terre de mes aïeux, ils étaient tous protestants rochelais. Le siège de La Rochelle a marqué l’histoire de ma famille et des images de la ville ont toujours été accrochées sur les murs des membres de ma famille ».
Chaque jour, dès sept heures du matin jusqu’à minuit (parfois davantage), équipé de son appareil photo, il arpente la cité maritime à la recherche de nouvelles ambiances et de nouveaux angles.
« J’essaie de la donner à voir autrement », précise ce solitaire, davantage à l’aise avec le langage photographique qu’avec les mots.

Mais derrière son objectif, il s’attache aussi à montrer le quotidien, et parfois même dans ce qu’il a de plus dur. Il y a quelques années il dévoilait ses portraits de Sans Domicile Fixe rochelais dans l’exposition
“Détresse de Rochelais”.
Elle dure huit mois, un succès ! Quand on évoque le caractère presque anthropologique de son travail, il rigole : 
«C’est marrant, c’est le métier que j’aurai voulu faire, mais les études c’était pas mon truc. »
Une chose est sûre, ses photos reflètent sa passion, celle d’un homme attaché à sa ville et aux gens qui la font vivre.


Julia Tourneur pour TMV

L’art-penteur de la Rochelle

Cyril Vivier est une figure familière des Rochelais. Qui ne l’a pas vu arpenter les rues, Fuji en bandoulière et casquette sur la tête, avec son regard taquin et la dégaine faussement désinvolte du parfait dandy... Il vient boire son café au Troquet le matin et nous avons pris le rendez-vous quotidien et délicieux de partager sa moisson photographique de la veille. L’idée d’une expo s’est vite imposée et j’ai dû faire une sélection parmi les milliers d’images du foisonnant artiste. J’ai tenté de choisir celles qui révélaient au mieux la particularité de son regard. Car la photographie de Cyril est un jeu. Il ne photographie pas un sujet précis, mais le jeu des formes et des matières que plusieurs sujetstissent entre eux. Un jeu de construction graphique. Le réel est trop beau pour être sérieux. Le résultat : des cadrages surprenants, un travail picturalsur la texture et aussi, un jeu sur le temps : Cyril se plait à antidater sesphotos et à rattacher le présent à divers passés. La Rochelle, site historique,se pli volontiers au jeu ! Mais si l’histoire des ancêtres de Cyril se confond avec celle de La Rochelle, ce photographe a puisé de sa jeunesse africaine sa liberté et son intégrité - d’un pensionnat catholique en France, sa capacité à la sublimation - a développé son penchant humaniste et fantaisiste avec son premier métier en Suisse : clown pour enfants handicapés - et son coté logique et construit en faisant la promotion (avec les cheveux teints en bleu) d’un fournisseur d’accès internet.

Evelyne Allegre
https://youtu.be/8x5UpVe91Pk


Le photographe Cyril Vivier est un « art-penteur » des rues rochelaises. Son appareil en bandoulière, il parcourt des kilomètres dans la ville de la Rochelle afin de saisir l’instant, la lumière, la féerie des reflets.

Dominic pour

https://youtu.be/hETmvXg31_s



Mon objectif:

Réaliser un guide sur la ville de la Rochelle


Ce guide permettrait de voir la ville sous un angle nouveau, car il permettrait de renouer avec la population par une reconnaissance des talents et des savoirs de chacun. En privilégiant les métiers artisanaux et manuels.


2020 – Partir faire une grande traversée en mer. Pour aller à la rencontre de l'océan.

La Rochelle - Fort de France à la voile. Une idée de fou? Un objectif, apprendre à naviguer pour rejoindre l'île de la Martinique.

Dans ma besace, mon "matos" photo...

Fuji XT1, Fuji X-Pro1. 10/24mm, 18/55mm, 27 mm, 35mm, 56mm, 60mm, 50/140mm, Flash Nissin I40, réflecteur.

Adepte de la gamme Fuji depuis quelques années, merci Fuji San.
Autrefois, couvrir un reportage, une séance de photos avec mes boitiers Olympus, Canon, Nikon... C'était lourd... Ou avoir les moyens de s'offrir un assistant... Et aujourd'hui avec les Fujies... Petits... Riquiquis, comparés à celui de Tonton Marcel...:-) Mon dos est enfin soulagé. Certes, je ne ferais pas de photos de Formule 1... Enfin... Peut être... Bientôt, le fabriquant à annoncé une mise à jour qui décoiffe.... Bref je peux désormais déclencher le moment décisif, sans effort d'haltérophilie. Et pouvoir être là, à l'instant "T" et de réaliser des photos dans de bonnes conditions, c'est un bonheur grandiose. Et pas être brisé à la fin de la journée... C'est bien aussi!